2. L'art italien, de la Renaissance à 1905
de Philippe Morel Citadelles et Mazenod, 1998, 616 p. (L'art et les grandes civilisations) Deux siècles et demi séparent la révolution picturale opérée par Annibal Carrache et Caravage du mouvement des "Macchiaioli", dont les expérimentations font écho à celles menées par les impressionnistes français. Entre ces événements, l'Italie connaîtra le déclin du maniérisme et l'avènement du baroque, où l'horreur du vide et de la sobriété entraîne la surabondance décorative des églises et des palais, puis le néoclassicisme et le style empire. Les bouleversements économiques et politiques du pays, la venue dans la péninsule de nombreux artistes étrangers, entraînent des changements radicaux. Certaines capitales artistiques traversent d'importantes phases de déclin. La vie de leurs écoles s'en trouve modifiée, Rome focalise désormais toutes les attentions. L'art italien ne cessera de se remettre en question. Au début du Xxe siècle, la photographie, considérée comme l'un des beaux-arts, apportera à son tour de nouvelles représentations du monde. Le présent ouvrage s'ouvre en outre sur l'architecture de la Renaissance, qui nécessitait un traitement à part. |
Morel Philippe.
2. L'art italien, de la Renaissance à 1905.
Citadelles et Mazenod, 1998, 616 p.
(L'art et les grandes civilisations).
Titre : | L'art italien, de la Renaissance à 1905 |
Partie : | 2 |
Auteurs : | Philippe Morel, Auteur |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Citadelles et Mazenod, 1998 |
Collection : | L'art et les grandes civilisations |
ISBN/ISSN : | 978-2-85088-072-8 |
Format : | 616 p. |
Langues: | Français |
Descripteurs : | art / Italie / oeuvre artistique |
Résumé : | Deux siècles et demi séparent la révolution picturale opérée par Annibal Carrache et Caravage du mouvement des "Macchiaioli", dont les expérimentations font écho à celles menées par les impressionnistes français. Entre ces événements, l'Italie connaîtra le déclin du maniérisme et l'avènement du baroque, où l'horreur du vide et de la sobriété entraîne la surabondance décorative des églises et des palais, puis le néoclassicisme et le style empire. Les bouleversements économiques et politiques du pays, la venue dans la péninsule de nombreux artistes étrangers, entraînent des changements radicaux. Certaines capitales artistiques traversent d'importantes phases de déclin. La vie de leurs écoles s'en trouve modifiée, Rome focalise désormais toutes les attentions. L'art italien ne cessera de se remettre en question. Au début du Xxe siècle, la photographie, considérée comme l'un des beaux-arts, apportera à son tour de nouvelles représentations du monde. Le présent ouvrage s'ouvre en outre sur l'architecture de la Renaissance, qui nécessitait un traitement à part. |
Nature du document : | documentaire |
Exemplaires (1)
Cote | Section | Localisation | Code-barres | Disponibilité |
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759.45 MOR | Documentaire | CDI | 005385 | Disponible |