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La Mort à Venise, suivi de Tristan
de Thomas Mann
Fayard, 1971, 189 p. ; 17 cm (Livre de poche)
Aschenbach, écrivain célèbre, se rend à Venise pensant y trouver le calme et le repos qui lui sont nécessaires, après ses veilles et son travail acharné. Descendu dans un luxueux hôtel du Lido, il est bientôt frappé par l'extraordinaire beauté d'un jeune polonais, Tedzio. Une singulière intimité s'établit alors de façon tacite entre celui qui tente péniblement de créer la beauté et celui qui la représente sans effort, par sa seule existence
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