Maximes ou Sentences et Réflexions morales : Suivi de Réflexions diverses et des Maximes de Madame de Sablé
de La Rochefoucauld Gallimard, 1976, 314 p. (Folio Classique) François VI, prince de Marcillac puis duc de La Rochefoucauld (Paris 1613-Paris 1680) mena la vie de folles aventures d'un grand seigneur à l'époque de Richelieu et de Mazarin : amours romanesques, combats dans les armées du Roi, puis dans l'armée des princes levée contre le Roi, prison, blessures, disgrâce. Il n'en recueille qu'amertume et déception. Autorisé à rentrer à Paris (1656), mais exclu de la vie active, il se consacre à la réflexion. C'est alors qu'il élabore, par des échanges avec ses amis (Madame de Sablé, le janséniste Jacques Esprit), l'oeuvre littéraire qui va illustrer son nom : les Maximes. Il scrute l'homme avec une lucidité parfois cruelle, mais salubre. L'une des grandes vertus des Maximes est qu'elles empêchent de dire un certain genre de sottises. Mais elles ne sont pas qu'une lecture négative : à travers elles s'impose la présence d'une grande âme, d'un magnanime comme on disait alors, ou d'un généreux. |
La Rochefoucauld.
Maximes ou Sentences et Réflexions morales : Suivi de Réflexions diverses et des Maximes de Madame de Sablé.
Gallimard, 1976, 314 p.
(Folio Classique).
Titre : | Maximes ou Sentences et Réflexions morales : Suivi de Réflexions diverses et des Maximes de Madame de Sablé |
Auteurs : | La Rochefoucauld, Auteur ; Jean Lafond, Auteur du commentaire |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Gallimard, 1976 |
Collection : | Folio Classique |
ISBN/ISSN : | 978-2-07-036728-3 |
Format : | 314 p. |
Langues: | Français |
Mots-clés: | Recueil, pensées, philosophie |
Résumé : |
François VI, prince de Marcillac puis duc de La Rochefoucauld (Paris 1613-Paris 1680) mena la vie de folles aventures d'un grand seigneur à l'époque de Richelieu et de Mazarin : amours romanesques, combats dans les armées du Roi, puis dans l'armée des princes levée contre le Roi, prison, blessures, disgrâce. Il n'en recueille qu'amertume et déception. Autorisé à rentrer à Paris (1656), mais exclu de la vie active, il se consacre à la réflexion. C'est alors qu'il élabore, par des échanges avec ses amis (Madame de Sablé, le janséniste Jacques Esprit), l'oeuvre littéraire qui va illustrer son nom : les Maximes.
Il scrute l'homme avec une lucidité parfois cruelle, mais salubre. L'une des grandes vertus des Maximes est qu'elles empêchent de dire un certain genre de sottises. Mais elles ne sont pas qu'une lecture négative : à travers elles s'impose la présence d'une grande âme, d'un magnanime comme on disait alors, ou d'un généreux. |
Nature du document : | fiction |
Niveau : | lycée |
Exemplaires (1)
Cote | Section | Localisation | Code-barres | Disponibilité |
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R LAR | Fiction | CDI | 015213 | Disponible |