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L'Épouvanteur, 3. Le secret de l' Épouvanteur
de Joseph Delaney, Marie-Hélène Delval Bayard Jeunesse, 2010, 371 p. La nuit de novembre était froide et venteuse. Je me tenais dans la cuisine, près de la cheminée, en compagnie d'Alice et de l'Epouvanteur. Le temps se détériorait, et je savais que, d'un jour à l'autre, mon maître déciderait de rejoindre sa «maison d'hiver», sur la morne lande d'Anglezarke. Je n'avais aucune envie d'aller là-bas. Je levai les yeux du manuel de verbes latins que je tentais d'apprendre, et le regard d'Alice accrocha le mien. Elle était assise sur un tabouret bas, tout près du foyer, le visage baigné par le chaud rougeoiement du feu. Elle me sourit, et je lui rendis son sourire. C'était en partie à cause d'Alice si je ne désirais pas quitter Chipenden. Elle était ma seule amie, et elle m'avait sauvé la vie à plusieurs reprises ces derniers mois. Sa présence rendait supportable la solitude de la vie d'épouvanteur. Hélas, mon maître m'avait prévenu que nous serions bientôt séparés. |
Delaney Joseph, Delval Marie-Hélène.
L'Épouvanteur, 3. Le secret de l' Épouvanteur.
Bayard Jeunesse, 2010, 371 p.
Titre : | Le secret de l' Épouvanteur |
Titre de série : | L'Épouvanteur, 3 |
Auteurs : | Joseph Delaney, Auteur ; Marie-Hélène Delval, Traducteur |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Bayard Jeunesse, 2010 |
ISBN/ISSN : | 978-2-298-00965-1 |
Format : | 371 p. / 18 cm |
Langues: | Français |
Résumé : |
La nuit de novembre était froide et venteuse. Je me tenais dans la cuisine, près de la cheminée, en compagnie d'Alice et de l'Epouvanteur. Le temps se détériorait, et je savais que, d'un jour à l'autre, mon maître déciderait de rejoindre sa «maison d'hiver», sur la morne lande d'Anglezarke. Je n'avais aucune envie d'aller là-bas.
Je levai les yeux du manuel de verbes latins que je tentais d'apprendre, et le regard d'Alice accrocha le mien. Elle était assise sur un tabouret bas, tout près du foyer, le visage baigné par le chaud rougeoiement du feu. Elle me sourit, et je lui rendis son sourire. C'était en partie à cause d'Alice si je ne désirais pas quitter Chipenden. Elle était ma seule amie, et elle m'avait sauvé la vie à plusieurs reprises ces derniers mois. Sa présence rendait supportable la solitude de la vie d'épouvanteur. Hélas, mon maître m'avait prévenu que nous serions bientôt séparés. |
Nature du document : | fiction |
Genre : | roman |
Thème de fiction : | horreur/peur/surnaturel |
Niveau : | collège |
Exemplaires (1)
Cote | Section | Localisation | Code-barres | Disponibilité |
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R DEL | Fiction | CDI | 014698 | Disponible |